La Pierre & la plume - Kesaco ?

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mardi 27 décembre 2016

L'histoire en graine (de Vie) à faire pousser !



Il était une fois

un zèbre qui cuisinait en Algérie. C’était un cuisinier pour les tigres, les lions et les jaguars, bref, pour les animaux qui mangeaient de la viande et qui n’aimaient pas les plats dégoûtants. Car ce qui est dégoûtant n’est pas bon pour les gens.


« …

Lui, ce qu’il aimait le plus, c’était les œufs. Il allait les ramasser dans le poulailler, car vous savez, en Algérie, il y a des poules.

« …

Tout était bien. Pourtant, il décida de partir. Comme il était très fort pour le football et les devoirs, il se décida un soir à partir s’entraîner avec l’équipe du Real de Madrid. Pour un cuisinier, ce n’est pas facile et pour un zèbre, c’est encore plus difficile !
« ...

Il se fit de nouveaux camarades à l’entraînement. Il intégra rapidement une des 9 équipes du club. Il dit :

« S’il vous plaît, intégrez-moi dans les seniors et vous ne serez pas déçus ! »

Vous n’avez jamais vu un zèbre jouer au foot, mais croyez-moi, ce sont les meilleurs des joueurs !

C’est ainsi qu’il participa à la construction du nouveau stade Bernard Béoud, qu’il réussit son bac pro et qu’il continua ses études en plus de jouer au football. « ...


Il devint même pilote d’avion professionnel et emporta les voyageurs de Thaïlande jusqu’en France. « ...

Au retour, il fit montrer le Centre social Graine de Vie de Pierre-Bénite à bord et toput le monde visita la Thaïlande et l’Australie avant de revenir en France.


Il était une fois

un oiseau qui sautait en Angleterre. Cet oiseau était complètement fou. « ...

Le lundi, il voyagea en sautant jusqu’au Maroc, puis sautilla en Algérie avant de revenir en France pour faire ses devoirs.


« …

Comme il était inscrit à l’aide aux devoirs, il s’arrêta à Pierre-Bénite, puis repartit en sautant. « …

Le mardi, il vint faire ses devoirs depuis l’aide aux devoirs de l’Angleterre jusqu’à Pierre-Bénite. « ...

Le Mercredi, il réussit son baccalauréat. « …

Le Jeudi, il fêta ces 100 ans. « …

Le vendredi, il mourut.
« …

Ce qui ne l’empêcha pas, le samedi, de se remettre à sauter. « ...

Il était une fois

un aigle qui jouait aux cartes au centre social de Pierre-Bénite, en été.

C’était son habitude et il avait toujours de bonnes cartes.

« ...

Alors Mehmet n’avait pas trop de chances de gagner. « ...

Notre aigle avait la meilleure carte : le 10 et Mehmet avait une petite carte : le 6 ! « ...

Alors l’aigle a gagné et il l’a emporté tout là-haut dans le ciel.

« ...


Il était une fois

un tigre blanc qui mangeait un yaourt. « ...

Car il avait faim, lui qui ne connaissait rien d’autre que le yaourt. De plus, il n’aimait pas la viande : il était devenu végétarien car les végétarien ne mangent pas de viande.

« …

Il aimait bien le fromage et il détestait les saucisses. C’est pour ça qu’on le distinguait des autres tigres. « ...

Il mangeait le soir et dormait bien la nuit, pour être en forme le lendemain matin

et recommencer la chasse au colibri. « ...

Mais en chemin,

il croisa le lapin

qui le bloqua le chemin

pour sauver le colibri

Riouioui !!!

Trève de plaisanterie ! Revenons à notre tigre.

« ...

Grâce au yaourt, il était devenu plus blanc que ses compères. Il aimait cette couleur. Il était d’un blanc pur et éblouissant.

Un jour, il se mit à chanter du rap. « ...

Il devint un rappeur célèbre. Ses concerts étaient remplis.

« ...


Les tigresses lui couraient après, surtout quand il se mit à chanter Wesk Alors de JUL.
« …

Ce succès l’amena à rencontrer les Galactiques du Réal Madrid. « ...

mercredi 21 décembre 2016

Ennard, splendeurs et décadence du jeu vidéo


Bonjour, je vous propose de m’accompagner dans l’univers du jeu Five Nights at Freddy’s Sister Location, qui vous oppressera comme des citrons, qui vous empêchera de dormir, qui vous fera dresser les cheveux sur la tête.

Première étape : Présentation d’un personnage mystérieux.

Voici Ennard !
Oui, c’est vrai, vu comme ça, il ne ressemble à rien ou alors un tout petit peu, mais si il(ou elle, on ne sait pas mais bon, lisez d’abord, j’en parlerai plus tard) est comme ça, c’est qu’il y a une raison.
Essayons de trouver la cause de son problème.
Tout d’abord, il faut savoir que Ennard n’a pas été conçu. Il est un « mélange »  de quatre animatroniques et de quelques paperasses. Ces animatroniques sont : Baby, Ballora, funtime Freddy et funtime Foxy. Vous comprenez maintenant pourquoi il a tous ces yeux. En fait, un seul œil lui appartient et le reste est aux autres.

Parlons maintenant de son masque. Eh oui, il n’est pas non plus à lui, à la base. Il appartient à l’homme de maintenance qui l’a mis au dessus du « control module » et comme je ne veux pas vous traumatiser, je ne vais pas vous montrer à quoi il ressemble sans son masque qui lui donne un petit air sympathique !

Baby, Ballora, fun-Freddy et fun-Foxy contiennent tous une âme d’enfant qui contrôle Ennard ou plutôt les enfants qui veulent se venger de l’ancien homme de maintenance qui a poussé les annimatroniques à tuer des enfant innocents.

Or, les enfant ne font pas la différence entre vous et l’assassin. Ils veulent donc vous tuer en s’autodétruisant et c’est ainsi qu’Ennard fit son apparition. Ennard arriva à ses fins en tuant le gardien à la fin de la cinquième nuit dans le jeu ( Five Nights at Freddy’s sister location).
Et voilà ! Vous savez maintenant ma version de l’histoire. Eh oui, il existe des tonnes et des tonnes de théories évidemment, c’est un avis personnel.

Libre à vous d’y croire ou non.
Maintenant, vous êtes prêts pour regarder votre série préférée à la télévision.

Rendez-vous demain, même endroit, même heure !

Alex le Chocolatier


Inspiré par la visite au chocolatier JASSOUD


Alex le chocolatier


Chapitre 1 : Tout commence un jour …

Il était une fois un enfant se nommant Alex. Très agile de ses mains, il avait des yeux noirs comme le chocolat. Son grand-père était boulanger-pâtissier : ils faisaient beaucoup de gâteaux tous les deux : meringues, pralinettes, chocolatines, pain d’épices et même des croquets aux amandes !

Un jour, un chocolatier-pâtissier s’installa dans son village. Cet artisan avait un fils qu’il l'inscrivit au même collège qu'Alex. Ils devinrent tout de suite amis dès le premier jour. Il s'appelait Amin .Tout les soirs après les cours, ils se retrouvaient chez Amin et préparaient des spécialités pour le grand-père d'Alex. Et quand Alex dut faire un stage en troisième, il choisit sans hésiter la chocolaterie du père d’Amin.

C'est ainsi qu'Alex découvrit vraiment sa passion pour le chocolat. A la fin du collège, il opta pour une année en alternance chez le père d'Amin et apprit à maitriser le cacao. Il obtint facilement son CAP pâtissier-chocolatier, en même temps qu’Amin devenait boulanger. Tout allait pour le mieux.


Mais le père d'Amin dut prendre sa retraite. Hélas, sans repreneur à son niveau, la chocolaterie perdit sa popularité et fit faillite,il dut fermer boutique.. jusqu’au jour où Alex vit dans le journal une annonce :
« Grand concours de chocolaterie Intersuc !!! Le gagnant recevra 100 000 € ! »
Alex reprit espoir mais le concours n'aurait lieu que dans trois mois et il savait qu'il n'était plus assez bon en chocolat et qu’il avait perdu son inspiration d’autrefois. Voilà pourquoi il devait alors trouver les meilleurs chocolatiers pour l'instruire. Alex trouvera-t-il les experts qu’il souhaite ? Et gagnera-t-il le concours Intersuc?

A suivre …



Chapitre 2 : Les rencontres
Résumé du chapitre précédent :
«


Alex chercha partout les maîtres de la fève exotique, de l’or brun et du miel noir mais ils dédaignaient l’innovation, la jeunesse et les nouvelles méthodes. Un jour, il rencontra un vieux monsieur qui habitait au bord d'une falaise et qui se nommait Noa. Avec patience et malice, le vieux sage lui apprit la technique de la vague cosmique. Pour ceux qui ne la connaîtraient pas, la vague cosmique consiste à rendre le chocolat noir moelleux et à l’assouplir avec de l'eau de l'océan et surtout avec une algue spéciale. Cette alliance subtile donne un goût délicieux. Alex s'en alla avec une gourde d'eau d'océan. Il traversa les montagnes et eut très froid. Il rencontra par hasard un jeune homme qui sautait par-dessus les crevasses. Cet homme s'appelait Caw et il offrit une boisson chaude à Alex, qui lui expliqua derechef son problème. Caw lui appela le vent des montagnes. Il ouvrit la fenêtre et son chocolat chaud durcit d’un seul coup. C’était magique. Le jeune homme repartit avec un peu de vent des montagnes dans un ballon.



Ceci fait, il ne lui restait plus qu'un mois avant le concours. Il se rendit dans la grande forêt de cacao et trouva là-bas un beau matin, Yob le Cacaotier qui lui donna la recette merveilleuse du chocolat suprême.

Puis il partit jusqu'à l'endroit où se déroulait le concours, avec en poche, de l'eau d'océan, de l'air des montagnes et le cacao suprême. Alex s'inscrit aux épreuves et installa son arsenal. Une immense banderole jaillissait du plafond avec un méga

« Bienvenue à Intersuc - Les 56 candidats sont-ils prêts ?»

Alex se mit au travail. Il réalisa une rose des sables. Il ne lui restait que cinquante secondes et il n'avait pas eu le temps d'y mettre sa touche finale. Alors, il prit de l'eau de l'océan et récita la formule magique.
Alex va-t-il réussir avec la technique de la vague ?


A suivre …






Chapitre 3 : Le concours (TADAM !)

Résumé du chapitre précédent :
«



C'est comme ça qu'il réussit brillamment son extraordinaire rose des sables de soixante-quinze centimètres de diamètre, il l'avait d'ailleurs peinte avec un ingrédient secret qui avait la couleur de la rose et son parfum mais pas son goût. Le concours se déroula en trois manches. Tour à tour, chaque participant fut éliminé. Alex se retrouva en finale, contre l'incroyable maître du chocolat.
On racontait que c'est lui qui avait le premier dompté la fève.

C’était un sacré crâneur. A vrai dire, il se disait qu'il avait même inventé la bergamote. Alex avait très peur mais il savait qu'il pouvait battre le précédent Maître du chocolat. Il s'était entraîné toute la semaine avant la grande finale.
La grande finale arriva. Alex était parti sur un gâteau au chocolat à cinq étages, avec une qualité différente à chaque étage. Tout en bas, le noir amer, plus haut, le lait sucré, ensuite, le blanc gourmand, et à l'avant-dernier étage, le praliné croustillant. Mais qu'y avait-il au dernier étage ? Tout simplement, l’œuvre sur laquelle il travaillait depuis le lycée : le chocolat au melon !
Quant à lui, son concurrent avait imaginé une rivière aussi brillante, noire et amère qu’une coulée de pétrole sur une plage bretonne.

Les jurés goûtèrent aux deux desserts magnifiques et...

Qui sera le Grand Vainqueur ?

A suivre …





Chapitre 4 : Victoire ?
Résumé du chapitre précédent :
«
Les jurés étaient tous très favorables au chocolat melon. Mais il se fit qu'Alex perdait quand même de sept points. Les jurés mettaient la note de leur choix entre zéro et dix, et on additionnait les points obtenus. Ils avaient tous voté sauf le plus sévère de tous : Monsieur Dubouchon.


Le Maître du chocolat obtint de sa part la note d’un point et demi. Alex pensait déjà qu'il avait perdu mais à la surprise générale l'ogre du jury lui accorda la note de neuf !
Il gagnait le concours de 0, 5 points !
Après la remise de médaille, il alla voir ce terrible Monsieur Dubouchon qui lui expliqua qu'il A-DO-RAIT le melon et le chocolat et détestait le noir amer que maîtrisait si bien l'EX-Maître du chocolat. Monsieur Dubouchon lui conta alors son rêve qui était de créer un chocolat primeur, combinant fruits et mélange chocolaté. Le juré et Alex s'associèrent alors et devinrent les meilleurs chocolatiers d'Europe. Ils étaient LA référence chocolat.



Alex avait d'ailleurs pris le nom de Maître du chocolat et baptisé sa spécialité Noacawyob. Seuls ceux qui connaissent son histoire comprennent pourquoi.



(chocolats) FIN(S)




Jérôme et la malédiction des motos





Il était une fois, dans une petite ville qui s’appelait Pierre-Bénite, un petit atelier de motos. Le monsieur qui tient l’atelier se nomme Jérôme. Âgé de 48 ans, il s’occupe de beaucoup de motocycles chaque jour. Une nuit, il rentre chez lui en oubliant de fermer la porte.

Cette nuit-là, l’atelier est hanté d’une malédiction. Les motos se mettent à rouler toutes seules ; elles vont se balader partout dans la ville ; elles cassent tout sur leur passage. Mais au matin, elles sont toutes revenues à leur place. Ni vues, ni connues. Toutes, sauf une, la leader de la malédiction, qui s’est perdue dans la campagne. Quand Jérôme revient dans l’atelier, il s’aperçoit alors qu’il manque justement la moto qui devait être prête pour ce jour-là et que son propriétaire devait récupérer. Et voilà qu’il sonne déjà à la porte du magasin :
  • Bonjour, je viens chercher ma moto.
  • La Kawasaki GT ?
  • Oui, c’est bien ça.

Aïe ! Jérôme ne sait plus quoi dire. Alors, il trouve une bonne excuse. Il annonce :

  • Je n’avais plus la pièce en stock, alors je l’ai envoyée chez une amie, à la campagne. Pouvez-vous repasser plus tard ?
  • Pas de souci, je reviens la prendre dans six jours, dit le client et il s’en va.
Tout de suite après, c’est une dame qui entre dans l’atelier. Elle prend un air mystérieux :
  • Pour rompre la malédiction, tu devras enlever la carrosserie de la Kawasaki Gt et la changer.
Et sur ces mots, elle disparaît.

Aïe, Aïe ! Jérôme doit-il faire confiance à la dame ? Ou doit-il prévenir la police ?

Le propriétaire de la Kawa va-t-il récupérer sa moto ? Que va-t-il se passer ensuite ?

Cher lecteur, à toi maintenant d’inventer la suite de ton histoire et de l’écrire ici :

« 

« 

« 

« 

Et maintenant, voici ma version :

Jérôme décide de faire confiance à la dame et de ne pas appeler la police. Il se rend à la campagne et grimpe sur la plus haute montagne pour voir loin et repérer sa moto. Soudain, il remarque le rouge brillant de la Kawasaki GT. Il descend à toute vitesse, retrouve la moto, et lui ôte sa carrosserie en cinq sec. Une fumée noire jaillit de la tôle jusqu’au ciel. La dame mystérieuse apparaît et s’avançant vers Jérôme, lui annonce :
  • La malédiction est rompue. Je peux t’aider à trouver une carrosserie d’occasion qui sera comme neuve… si tu le souhaites, bien sûr.
Aïe, aïe, aïe ! Jérôme n’avait pas prévu de carrosserie de rechange ! Il accepte donc vivement et monte vite fait la carrosserie livrée comme par magie. Ouf !
Quelques jours plus tard, il remet le véhicule au propriétaire heureux de retrouver sa moto en parfait état de marche et surtout bien domestiquée désormais.

Mais ça, il ne peut pas le savoir !



Le fantôme de John


Le fantôme de John


Un soir de Noël, un petit garçon surnommé John, dormait profondément.
Il rêvait de son ami Carlos, qui n’était plus de ce monde depuis deux ans déjà. Cet ami barbu, qui savait le comprendre malgré ses habitudes étranges. Il rêvait qu’il l’accompagnait les nuits de pleine lune dans de longues promenades nocturnes. Il revit l’accident : il ne pouvait rien pour le sauver.
Tout-à-coup, un train passa dans un fracas épouvantable. John était le fils du chef de gare. C’était le train de 4h36. Il se réveilla en sursautant, le cœur battant et les mains moites. Il compta d’interminables secondes dans sa tête. Il y eut un bruit dans le placard, une porte s’ouvrit et se referma. Il alluma la lumière, sauta sur le tapis et ouvrit les deux battants. Là dans le noir, il trouva ses vieux chaussons, ceux qu’il avait jetés à la poubelle deux années auparavant, le jour où son meilleur ami s’était trouvé déchiqueté par le train de 4h36.
«Tchic Tchic Tchic Aïe !!!"

Il les emballa dans du papier journal et les jeta par la fenêtre. Pour se rendormir, il laissa la lumière allumée. Dès son réveil, il monta au grenier. Au milieu des chaises en paille, une armoire couchée au sol, des vieux tableaux décolorés, des vieilleries pleines de poussière, il vit la planche de QADJA. Il connaissait bien cet objet de bois ou toutes les lettres de l’alphabet apparaissent. Un verre trainait justement par là. John le prit et le fit glisser pour former le mot QADJA sur la pièce de bois.
«Je trace les lettres et je répète ce que j'entends. Ainsi l'esprit sortira du bois - si l'on peut dire !" se répéta-t-il comme à chaque fois.
Brusquement, il entendit un bruit dans son dos. Il resta paralysé de terreur. Il n’eut pas le courage de se retourner. Un rire ténébreux retentit dans les combles. John sortit décampa, sauta au-dessus de l’escalier fit un roulé boulé à l’atterrissage et referma la porte à double tour. Il condamna l’accès au grenier pour toujours. En revenant dans sa chambre, les chaussons attendaient sur le lit ! Comment étaient-ils revenus là ? Il recula d’un bond jusqu’à la cuisine. Il avait besoin de bon chocolat chaud. Il devait réfléchir. Comment faire pour annule la malédiction de ces pauvres chaussons. John revient dans sa chambre et les chaussons étaient toujours là. Il va dans les combles et dit le même mot que le fantôme et la créature de l’au-delà sortit de sa cachette. Le fantôme barbu était l’ami de John est en faisant revenir les chaussons, Carlos voulait que leur amitié ne soit pas brisée.
« Allez quoi, ne fais pas ta tête de mule, viens jouer aux cartes !!!"
Depuis ce jour, ils se donnent rendez-vous la nuit pour regarder passer le train de 4h36.


FIN

lundi 5 décembre 2016

Graine d'histoire de Graine de Vie !


  Voici nos débuts d'histoire
 
Il était une fois
un zèbre qui cuisinait en France.

Il était une fois
un chien qui aboyait aux états des jours.

Il était une fois
un lion qui courait en Tunisie.

Il était une fois
un lion qui volait dans le ciel d’Algérie.

Il était une fois
un oiseau qui sautait en Angleterre le lundi.

Il était une fois
un aigle qui jouait aux cartes au centre social de Pierre-Bénite, en été.

Il était une fois
un tigre blanc qui mangeait un yaourt 
 
un chien qui chassait en Algérie à midi

 Et voici nos auteurs en herbe

S comme Soleil
A comme Amandine
R comme Raisin
A comme Artiste


I comme Italie
L comme Lacoste
A comme Algérie
N comme Nourriture


M comme Maroc
Élégant
Hermès
Dalmatien
Imaginaire


D comme Danse
J comme Jupe
I comme Igloo
A comme Amitié
N comme Nuit
E comme Écureuil

I comme Imaginer
N comme nounours
E comme Extraordinaire
S comme Sirène

C comme Course
E comme Excellent
L comme Lion
I comme Image
N comme Natation
E comme Explication

A comme Algérie
S comme Souris
M comme Maman
A comme Algérie

Ya comme Yacine
Smin comme Souris
E comme Élephant



jeudi 1 décembre 2016

Face au ciel de guerre


Sur la pierre carrée, héritage de ses ancêtres, la mère se tenait droite, en chef de clan.
Elle fixait, au loin, un soleil rougeoyant se faire peu à peu dévorer par la mer.
Le vent, en bourrasque, avait chargé le ciel, au-dessus de sa tête, de nuages noirs et menaçants. Il faisait nuit.Elle savait ce que cela présageait : l'orage arrivait. Il avait toujours piqué sa curiosité car elle pressentait toujours en sa présence, un danger. Le mystère du tonnerre l'intriguait : ce roulement de tambour, vacarme assourdissant, accompagné d'éclairs, irisant le ciel et rendant l'atmosphère électrique.Une boule de feu soudaine terrassa un arbre proche, le pulvérisant en multiples débris.
A cette vue, malgré la terreur, elle trouvait ça joli.